« Mon premier jour dans en cuisine professionnelle, je m’en rappelle bien ! Tout comme du deuxième, du troisième ou du quatrième. On m’a mis au parfum tout de suite : pour devenir un bon, il faut faire la plonge ! Je n’ai pas touché un ingrédient pendant des mois. J’avais quinze ans, je bouillonné d’envie et j’étais très frustré ! J’ai compris un peu plus tard que si c’est ingrat et répétitif, c’est le plus important. Le premier maillon de la chaine. Ça m’a comme comme tous les apprentis appris discipline, rigueur et respect de la cuisine ».